Le chapiteau de Claude Weber - Le livre sur l’APAC

Claude WEBER est né en 1939 en Moselle. Professeur d’allemand à la retraite, il a enseigné successivement à Pagny-sur-Moselle, Blénod-lès-Pont-à-Mousson et au Lycée Marquette à Pont-à-Mousson.

Titulaire d’une thèse de troisième cycle en linguistique et phonétique allemande, il s’est intéressé, par le biais de ses recherches, à promouvoir et développer la connaissance de l’allemand tant dans ses classes que par la mise en œuvre d’un partenariat avec un lycée de la Forêt Noire et l’entreprise de voyages scolaires outre-Rhin. Il a continué dans cette voie à la retraite lors de son déménagement à Neufchâteau où il est chargé, dans le cadre du jumelage de la ville, des relations avec Herringen, située dans le Land de Rheinland-Westphalien.

Il a participé à l’élaboration et à la publication d’une méthode audio-visuelle d’enseignement de l’allemand.

Il cultive depuis quelques années l’art de l’écriture en choisissant ses thèmes principalement dans sa région Lorraine natale : fiction autobiographique et historique, romans policiers, mais aussi mythologie scandinave qu’il souhaite faire découvrir à un plus large public.

Il pratique la sculpture sur bois tant en ronde- bosse qu’en bas-relief. Sa prédilection va aux bois de fruitiers comme le mirabellier, le noyer essentiellement, pour leur couleur et la qualité de leur finition.

Ce livre se veut le prolongement d’un ouvrage que j’ai intitulé :

« La grande aventure des dieux du Walhalla »où j’ai tenté de raconter une histoire peu connue concernant la mythologie scandinave, riche en événements décrits de façon linéaire : le destin des dieux nordiques de leur naissance à leur disparition.

Résumé

Gunnar le banni est une œuvre d’imagination pure qui repose sur un certain nombre de réalités historiques. C’est l’aventure d’un jeune viking injustement condamné au bannissement pour un crime qu’il n’a pas commis. Gunnar poursuit alors avec obstination son chemin dans le seul objectif de venger son honneur et de retrouver sa liberté

Ce thème de la mythologie, appelons la scandinave ou germanique, a pris ses racines en classe de quatrième en cours d’allemand.. Deux leçons faisaient référence, entre autres, l’une à Wotan le borgne le père de tous les dieux et l’autre au décès de Baldur, dieu de la beauté et de la bonté.

C’est en tant que professeur d’allemand que j’ai été amené à approfondir ce vaste domaine, par intérêt personnel , mais aussi dans le but de faire connaître cette histoire fabuleuse. Mais je n’ai écrit ces deux textes que bien plus tard au moment de la retraite.